Le fonctionnement de l’«honneur» de L’Esprit des lois comme signe d’une véritable discontinuité au sein de la réflexion de Montesquieu. Une nouvelle explication de l’inachèvement du Traité des devoirs
DOI :
https://doi.org/10.6092/issn.2421-4124/6426Mots-clés :
Montesquieu, Cicéron, Stoïcisme, Honneur, Traité des devoirs, L’Esprit des loisRésumé
Le propos de cette contribution est d’expliquer le fonctionnement du principe de la monarchie, l’Honneur (L’Esprit des lois, III, 7), par rapport à l’inachèvement du Traité des devoirs. Dans la première partie nous nous arrêterons sur certains ouvrages comme le Discours sur Cicéron et l’Éloge de la sincérité, ainsi que sur la lecture de Cicéron au cours la période 1715-1725, afin de saisir le motif qui a conduit Montesquieu à la décision de ne pas achever le Traité des devoirs. Dans la seconde partie l’approche génétique adoptée mettra en lumière un changement remarquable – signe d’une véritable discontinuité – dans la réflexion du Président qui s’étend à son œuvre entière, à partir des ouvrages écrits au sein de l’Académie de Bordeaux jusqu’à L’Esprit des lois, où l’honneur apparaît pour la première fois.Téléchargements
Publié-e
2016-11-18
Comment citer
Bonzi, F. (2016). Le fonctionnement de l’«honneur» de L’Esprit des lois comme signe d’une véritable discontinuité au sein de la réflexion de Montesquieu. Une nouvelle explication de l’inachèvement du Traité des devoirs. Montesquieu.It, 8(1). https://doi.org/10.6092/issn.2421-4124/6426
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© Federico Bonzi 2016
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